Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

VIP-Blog de dlr14eme_62

Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont -  Carvin
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

2524 articles publiés
858 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

Garçon (71 ans)
Origine : Carvin
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Septembre  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01020304050607
08091011121314
15161718192021
22232425262728
29300102030405


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]

Mise en garde à vue du Maire d'Hénin Beaumont

07/04/2009 14:10

Mise en garde à vue du Maire d'Hénin Beaumont


LILLE (AFP) — Le maire PS d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Gérard Dalongeville, a été placé en garde à vue mardi et était interrogé par la section financière de la police judiciaire de Lille, a-t-on appris auprès du parquet de Béthune.
L'éditeur du bulletin municipal de la commune "Le journal du pays", un journal en liquidation judiciaire depuis janvier 2008 est également en garde à vue, selon Brigitte Lamy, procureur du parquet de Béthune.
Un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) du Pas-de-Calais a épinglé la commune de 27.000 habitants, laquelle accuse notamment un déficit budgétaire de plus de 12 millions d'euros, soit un tiers de son budget annuel de fonctionnement et une "impasse de trésorerie" de 8 millions d'euros.
Menacé d'une procédure de suspension pour mauvaise gestion des finances, le maire avait fait retirer lundi soir ses délégations à sa première adjointe Marie-Noëlle Lienemann, qui avait refusé de voter son budget.
De son côté, le préfet du Pas-de-Calais a notifié au maire "une procédure contradictoire de demande d'explication", préalable à une éventuelle suspension.
M. Dalongeville, à l'époque dissident du PS, avait conquis en 2001 la mairie d'Hénin-Beaumont face au sortant socialiste Pierre Dachicourt, dont il était le directeur de cabinet. Il a été réélu en 2008 face à Marine Le Pen (FN) à la tête d'une liste constituée avec le PS, qui l'a ensuite réintégré.





Turquie : Sarkozy et Villiers dans un concours de tartufferie

07/04/2009 00:01

Turquie : Sarkozy et Villiers dans un concours de tartufferie


Malgré l’euphorie née de l’élection de Barack Obama, il a été dit et répété que le nouvel hôte de la Maison blanche n’en défendrait pas moins d’abord les intérêts de son pays. A juste titre…
Hier, dans la droite ligne de W. Bush et de ses prédécesseurs, le président Obama a tout naturellement livré un plaidoyer de plus pour l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne qui, en l’état des traités, ne peut que provoquer la paralysie voire l’explosion de cette dernière.
Bref, les Etats-Unis aiment l’Europe, mais l’Europe à genoux, de sorte qu’ils pourront indéfiniment compter sur sa docilité dans les échanges commerciaux comme dans la stratégie diplomatique et militaire. A cet égard, la réincorporation de la France dans le commandement militaire intégré d’une OTAN sans rôle ni raison d’être clairement définis, a dû être une « divine surprise » pour le nouveau président américain.
A l’approche des élections européennes, la résurgence de la question turque a par ricochet donné lieu à de bien curieuses passes d’armes médiatiques entre Nicolas Sarkozy et Philippe de Villiers, qui semblent l’un et l’autre soucieux de mettre en scène une espèce de rivalité dans l’opposition à l’entrée d’Ankara dans l’Europe. Comme s’ils avaient quelques petites choses à faire oublier…
Car, oui, des petites choses, il y en a ! Ainsi, le président de la République n’a cessé ces dernières années de clamer son hostilité à l’adhésion turque, usant et abusant des arguments sérieux qui, en effet, s’y opposent. Mais le problème, c’est que les actes n’ont pas suivi, c’est bien le moins qu’on puisse dire !
Alors qu’il demandait la suspension de toutes les négociations d’adhésion quelques mois avant l’élection présidentielle, depuis son installation à l’Elysée le nouvel hôte de l’Elysée a ouvert… plusieurs nouveaux chapitres de négociation avec les Turcs. Il a également imposé le traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée par le référendum souverain, un traité qui, de l’aveu même d’Angela Merkel, est la clé institutionnelle de l’adhésion turque. Enfin, il a supprimé l’obligation de référendum pour l’adhésion de nouveaux pays candidats à l’UE, faisant échouer tout amendement qui l’aurait maintenu pour des pays au peuplement important (j’avais moi-même défendu à l’Assemblée le seuil de 10 millions d’habitants), preuve que c’était bien l’obstacle à l’entrée turque qu’il voulait lever (mâtinée, peut-être, de sa profonde détestation pour le référendum). Bref, sur la Turquie, comme sur Gandrange ou l’Afghanistan, les actes ne cessent de contredire le discours…
Le brutal changement de cap de Philippe de Villiers à l’égard de son ami de l’Elysée ne fait pas davantage illusion : inerte lors du coup de force parlementaire de Lisbonne en février 2008, habitué des visites à l’Elysée, se présentant lui-même comme le « flotteur droit » de la majorité présidentielle, affilié pour les élections de juin à une organisation favorable à l’entrée de la Turquie en Europe, Philippe de Villiers s’en prend tout à coup à Nicolas Sarkozy avec vigueur. Décidément, les élections européennes approchent…
Au-delà de ces affrontements factices, faits pour amuser la galerie, abuser les Français et conserver des places, le danger de l’adhésion turque reste, lui, entier. DLR le combat invariablement depuis plus de 5 ans. C’est aussi pour garantir aux Français l’existence d’une voie sans équivoque sur ce dossier que nous nous sommes, loin des Tartuffes en tout genre, engagés dans les élections européennes.
NDA



Commentaire de cimares (07/04/2009 07:40) :

Signalé: mon appel sur le blog d'Alain Alpern !


Commentaire de DLR1 (canal historique) (07/04/2009 13:49) :

Cher Cimarés, je suis entièrement dans votre option, mais je ne puis décider seul, une initiative ou un contact des autres nommés me semble une des conditions préalables à cette rencontre !





Villepin : "le soixantième anniversaire de l’Otan cache mal les doutes sur son avenir."

06/04/2009 23:59

Villepin :


Assumons notre devoir d’indépendance

Le Figaro Par Dominique de Villepin jeudi 2 avril 2009

À Strasbourg et à Kehl, le soixantième anniversaire de l’Otan cache mal les doutes sur son avenir. Pourtant le président de la République a choisi de faire revenir notre pays dans le commandement intégré. Il y a là une réelle rupture, alors que la France avait acquis une situation originale dans l’Otan, « un pied dedans, un pied dehors ». Ainsi depuis 1995, elle défendait ses intérêts et pesait sur la conduite des opérations, comme au Kosovo, tout en participant à trente-six des trente-huit comités et à toutes les missions.
Cette rupture est d’autant plus forte qu’elle tourne le dos à un héritage historique et à un consensus national. Est-elle opportune ?
Elle intervient à contretemps car, après la tentation unilatérale américaine, il s’agit aujourd’hui de construire un monde multipolaire pour faire face aux nombreux défis - prolifération nucléaire, terrorisme, crises régionales enlisées -, aggravés par la crise économique mondiale. Elle est à contresens, car c’est l’Europe de la défense qui est notre avenir. C’est de l’affirmation d’une volonté européenne commune qu’ont résulté les avancées, de la déclaration de Saint-Malo en 1998 à la stratégie européenne de sécurité.
Elle est à contre-emploi, car il y a une originalité française qui s’enracine dans son histoire, dans sa présence outre-mer, dans son message universel. Elle nourrit sa vocation de trait d’union entre le Nord et le Sud, entre l’Est et l’Ouest, mettant sa voix au service du dialogue des cultures et de la paix.
En définitive, cette décision va à rebours de l’histoire, car l’Otan est la réponse d’hier, occidentale et militaire, aux défis de demain. Cette réintégration n’est pas sans risques, chèque en blanc signé à une Otan en quête d’un rôle et d’une légitimité, tentée par la fuite en avant. Elle est source de dangers, quand elle incarne une « famille occidentale » qui cristallise les rejets et réveille les logiques de blocs antagonistes, au risque de donner corps au « choc des civilisations ».
Elle est source de blocages, quand elle bride les progrès d’une meilleure gouvernance en matière de sécurité. Substitut commode mais pernicieux, elle tend à empiéter sur de nombreux domaines comme la cybercriminalité, la sécurité des mers et la prolifération. Elle est source de distorsions, quand elle prend l’allure d’une « ONU bis », sans limites et sans vision claire, ayant la tentation de s’étendre à toutes les démocraties du globe et de se voir déléguer la gestion des crises internationales.
Dès lors, cette décision doit être comprise comme un triple pari sur l’avenir. Premier pari : la réintégration permettra de renforcer l’Europe de la défense. Mais certaines réticences britanniques, turques ou est-européennes, comme la lourdeur des procédures de non-dédoublement des opérations entre Otan et Union européenne la bloquent. Les occasions de mesurer les avancées possibles ne tarderont pas, qu’il s’agisse de l’État-major de planification, du développement de nos moyens d’intervention ou encore de l’Agence européenne de défense. Cela suppose aussi des efforts pour relever les crédits de défense. Deuxième pari : la France sera à même de « codiriger » l’Otan. La tutelle américaine y reste lourde. Les postes attribués à la France, sans impact opérationnel réel, ne changent pas la donne.
Codiriger, c’est accepter d’être coresponsable de tous les choix, jusqu’à la logique de blocs et la militarisation du règlement des conflits, qui conduit à leur enlisement. En Afghanistan, nous devons tirer les leçons de l’Irak et faire prévaloir notre vision d’une solution politique. Codiriger, c’est aussi peut-être lâcher la proie pour l’ombre. Ne bridons pas cette liberté d’action et de parole qui permettait à la France, en 2003, de poser la question de la légitimité de l’intervention en Irak et d’empêcher le vote d’une résolution aux Nations unies. Paradoxalement, la règle du consensus, si elle nous laisse libres quant aux modalités, tend à nous contraindre sur le fond.
Troisième pari : l’Otan sera capable de changer pour s’adapter à la multipolarité. En contrepoint d’une mécanique militaire lourde, la prééminence du dialogue politique doit être affirmée. L’Amérique de Barack Obama donne des signaux encourageants. Mais un vrai débat doit avoir lieu sur la modernisation de l’organisation, sur l’installation du bouclier antimissile ou sur l’adhésion de l’Ukraine et de la Géorgie. L’Otan doit s’engager dans une logique de partenariats équilibrés.
Assumons notre devoir d’indépendance en nous tournant résolument vers l’avenir. Partout, l’initiative est nécessaire pour défendre notre vision, nos intérêts et faire entendre la voix de la France. Aussi, dès maintenant, il nous appartient de proposer aux États de l’Union une conférence pour la relance de la défense européenne. De même, le moment venu, il faudra refonder, dans la clarté et l’égalité, les relations transatlantiques. La France doit rester vigilante et exigeante, fidèle à ses valeurs et à son ambition.





CONSEIL MUNICIPAL du 06/04/2009 : Compte rendu et impressions

06/04/2009 23:53

CONSEIL MUNICIPAL du 06/04/2009 : Compte rendu et impressions


Une absence remarquée lors de ce conseil du 6 avril, celle de Mr Demarquilly. Un public nombreux, avec une recrudescence anormalement élevée de sympathisants frontistes, même pas  Héninoispour la plupart . Le quorum ayant était atteint, on passe très vite à l’ordre du jour. Marie Noëlle Lienneman prend la parole et rappelle le contrat fondé sur l’équilibre des forces de gauche il y a 1 an et le programme respectueux de la  légalité républicaine qui allait en corollaire. Elle se désole de voir le Maire en contradiction avec ses engagements et se désole des multiples manquements de l’édile vis-à-vis de l’éthique du PS. Elle appelle ses co - listiers  à voter en conscience. Christine Cogez dénoncera tout de go la légitimité de ce Conseil décidé par, je cite, « un maire sans étoffes qui n’en portera bientôt plus les habits ! ». Elle réclamera dans la foulée un retour rapide des Héninois pour mettre un terme à l’ère Dalongeville. Steve Briois partageant l’avis de Mme Cogez quand à l’illégitimité du Conseil municipal ajoutera qu’il n’a que pour unique objet la désignation d’un 1er adjoint – pantin en prévision de la perte de fonction de maire pour Gérard Dalongeville. Après un rappel des différentes affaires qui ont secoué le landerneau Héninois, il appelle le conseil à démissionner. Pierre Ferrari, après avoir dénoncé un climat détestable instauré par le 1er magistrat et sa clique, assure les 2 adjoints en cause de son soutien indéfectible qualifiant leur éviction « d’acte arbitraire ». Ils rappellent également les consignes du PS et qualifie de « traitres » tous les élus PS qui iront contre. David Noël moins mesuré qu’à l’accoutumée annonce que le nom de Dalongeville sera synonyme désormais d’indignité et de honte pour la ville. Il indique également, que ce soir 2 camps se profilent : celui de la probité et de l’intégrité contre celui de l’affairisme et du mensonge. Georges Bouquillon, après avoir rappeler qu’il avait dénoncé tous les travers de la gestion du Maire depuis très longtemps, voit dans l’éviction de ce soir une énième manœuvre afin d’installer un 1er adjoint croupion en prévision de sa future éviction. Marine Le Pen insistera sur le programme non tenu de l’équipe Dalongeville en y incluant Marie Noëlle Lienneman  qu’elle invectivera par une charge violente. Brigitte Menin continuera cette charge vis-à-vis de Mme Lienneman. Après une brève mais violente passe d’arme entre Mmes Le Pen et Cogez, Daniel Duquenne viendra clore les différentes interventions en appelant à la démission du Conseil Municipal. Le Maire, après un discours offensif peu inspiré et fortement hué par le public, décidera de passer au vote. Le résultat sera sans surprise et Marie Noëlle Lienneman se verra retirer sa charge à 22 voix contre 12. Les discours des différents orateurs concernant l’éviction de Mr David Noël seront du même acabit que précédemment et le résultat du vote  semblable : 22 voix pour et 11 contre. Le chapitre suivant verra la nomination de 2 adjoints croupions inféodés aux désirs du Maire. Mr Jean Pierre Chrusez et Mme Fillipowitcz endosseront ce rôle qui leur ira à merveille. Cette dernière se verra attaqué par Marine Le Pen qui l’accusera de corruption. Notons que l’AR ne prendra pas part à ce scrutin qu’elle qualifiera de « mascarade ». Cette nomination provoquera un grand tollé dans la salle. Le chapitre des nominations de membres des 3 commissions qu’occupait Francis Cottard sera lui aussi boycotté par l’AR qui signalera ne présenter aucuns candidats du fait du manque de transparence et de démocratie dans les dites commissions. En conclusion de cette soirée nous pouvons affirmer que désormais les clivages sont clairs et que le vote de nombres d’élus de la majorité pèsera lourd sur leur avenir politique. Une dernière remarque, nous avons aperçu un groupe d’anciens militants Sarkozistes qui  semblerait former un nouveau  noyau dur, cela aux dépens d’une UMP locale amorphe. Bref une droite héninoise ravagée qui augure de beaux jours pour DLR.

PW

 



Commentaire de Anthéa (07/04/2009 12:25) :

Aprés la phase administrative, voici la phase judiciaire... On commence à trembler dans le landerneau héninois !!!


Commentaire de J\'y crois (07/04/2009 13:19) :

Une agréable nouvelle ce jour, la fin des affairistes sur notre bonne vieille ville, cela fleure bon la libération





NDA sur soir3

05/04/2009 18:45

NDA sur soir3


Lors de son intervention dans le journal télévisé « Soir 3 », NDA a mis en avant la contradiction de faire rentrer la France dans le moule de l’OTAN alors que l’actualité démontre chaque jour un peu plus la nécessité d’un monde multipolaire.

Le leader de DLR a ainsi dénoncé ce revirement historique, véritable symbole d’une volonté d’uniformisation de l’ensemble des puissances occidentales dont la construction européenne, telle qu’elle se pratique aujourd’hui, en est une des illustrations les plus flagrantes.

http://www.europeennes2009.fr/nda-sur-soir3.html






Début | Page précédente | 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact dlr14eme_62 ]

© VIP Blog - Signaler un abus